CORPS
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"(Cou Cœur
Corps Cou
Cœur
Corps
Corps
Corps
Corps)
CORPS, tu es ami.
J'aimerais digérer, ingérer ce fait.
Mon Corps qui se bâtit en forme de femme
Ne s'échafaude ni par espièglerie,
Ni par perversité…
Quoi de plus sain, au contraire,
Quoi de moins monstrueux que ce corps, qui
- Malgré mes supplications tripales -
Emerge et me forge ?
CORPS, tu dégages
A travers le moindre de tes organes
Une immensité,
Une intensité
Qui m'effraie, et me rend pourtant si
Fière. De cette grandeur j'apprends à puiser
Mes mots. Et de ce corps de femme,
- De Mon Corps de Femme, tout neuf encore -
J'englobe le monde.
Thaïs
Corps Cou
Cœur
Corps
Corps
Corps
Corps)
CORPS, tu es ami.
J'aimerais digérer, ingérer ce fait.
Mon Corps qui se bâtit en forme de femme
Ne s'échafaude ni par espièglerie,
Ni par perversité…
Quoi de plus sain, au contraire,
Quoi de moins monstrueux que ce corps, qui
- Malgré mes supplications tripales -
Emerge et me forge ?
CORPS, tu dégages
A travers le moindre de tes organes
Une immensité,
Une intensité
Qui m'effraie, et me rend pourtant si
Fière. De cette grandeur j'apprends à puiser
Mes mots. Et de ce corps de femme,
- De Mon Corps de Femme, tout neuf encore -
J'englobe le monde.
Thaïs