Fatigue, fatigue,

Fatigue, fatigue,
Tu t’empares de moi.
Je ne sens plus mes jambes,
Endoloris sont mes bras.

Le ventre noué par le manque,
De sommeil, et de repos.
Au réveil toujours la douleur,
Qui se loge en bas de mon dos.

Sous mes yeux,
Un cerne de rêves.
Du réel, je m’égards,
Insomnie de pensées.

Le jour sous hypnose,
Je suis hors de mon corps.
Ma démarche se ralentit,
Et lourds les pas de la nuit.

Julie G.
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1 commentaire

C’est joliment tourné, on perçoit bien la pesanteur de cette fatigue qui écrase tout.

Caro

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