Tu es l’arable terre qui fleurit en hiver
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Tu es l’arable terre qui fleurit en hiver
Nostalgie printanière quand tout renaît sans toi
Tu es l’air rassurant du piano à bretelles
Tu es les vents de l’Est
Et la beauté du Nord.
Tu es dans la fraîcheur, dans la morsure du vent
Et les ciels rosés des longues soirées d’été.
Tournesol solitaire, dans un champ déserté
Les matinées pluvieuses blottis dans nos espoirs
Les nuitées infinies à flâner
Et les tons chatoyants renaissant sur mes toiles.
Tu es le fier brin d’herbe que rien ne peut plier
Mais aussi la vague qui se brise au rivage
fracassée sans ménage.
Tout comme le chant du large
tu imprègnes mes pages.
Il paraît que là-bas
De toutes les terres australes
À d'éparses comètes
quelque chose s'entête
Me brûle et me ravale
Les mots derrière la tête
De lointaines forêts
Aux vastes lacs gelés
S'étend ma volonté
D'y voir jusqu'à l'été
Plus loin que le printemps
Mourir avec l'automne
Renaître de tout mon être
Aux abois de l'hiver.
Elodie C.
Nostalgie printanière quand tout renaît sans toi
Tu es l’air rassurant du piano à bretelles
Tu es les vents de l’Est
Et la beauté du Nord.
Tu es dans la fraîcheur, dans la morsure du vent
Et les ciels rosés des longues soirées d’été.
Tournesol solitaire, dans un champ déserté
Les matinées pluvieuses blottis dans nos espoirs
Les nuitées infinies à flâner
Et les tons chatoyants renaissant sur mes toiles.
Tu es le fier brin d’herbe que rien ne peut plier
Mais aussi la vague qui se brise au rivage
fracassée sans ménage.
Tout comme le chant du large
tu imprègnes mes pages.
Il paraît que là-bas
De toutes les terres australes
À d'éparses comètes
quelque chose s'entête
Me brûle et me ravale
Les mots derrière la tête
De lointaines forêts
Aux vastes lacs gelés
S'étend ma volonté
D'y voir jusqu'à l'été
Plus loin que le printemps
Mourir avec l'automne
Renaître de tout mon être
Aux abois de l'hiver.
Elodie C.